Argentine / Cordoba / 02/12/08 Matin
Salut la compagnie.
Le départ pour San Antonio de Areco ce fut une véritable catastrophe!!
Comme de toute grande agglomération, pour sortir de Buenos Aires
celà ce fait par autovia. C'est à dire par une voie rapide à deux piste
minimum quant ce n´est pas quatre!! C'est normalement interdit au
vélos mais ici la police laisse faire, voir encourage il n'y a pas
d'autres solution.
Arrivé donc sur la voie rapide nous demandons à une charmante dame
la façon d'y accéder. Elle nous prend pour de fous et nous le
déconseille vivement. Ce que la police nous avait pas dit c'est
que les personnes à pied ou à vélo ce font régulièrement
attaquer et rançonner par des gens en voiture. Elle nous
conseille de prendre plutôt le train pour nous rendre à Cordoba.
Retour à la case départ. Les premier 50 km en argentine aurons
servis à faire le tour de Buenos Aires nord puis nous rendre
à la garer de Retiro.
Arrivés sur place, pas de train avant le lendemain soir 18h30
pour une arrivé à Cordoba le surlendemain 5H30. Nous préférons
nous rabattre sur un bus. Les départs ce font toutes les
heures pratiquement. Démontage des vélo pour la mise en soute.
Départ à la minute indiquée sur l'horaire!! 12 heures de bus en
"Semi cama" c'est à dire semi coucher. Les fauteuils bien plus
confortable que dans l'avion!! La place pour les jambes aussi.
Arrivé à Cordoba dans les temps.
Après dépose de nos affaires a L'auberge de jeunesse visite de
la ville. Quel contraste avec Buenos Aires, les rues sont propres
et les gens accueillants.
La visite commence comme d'habitude par les monuments historique
et les lieux à ne pas louper. Beaucoup d'églises. Cordoba a un
long passé jésuite, on trouvait ici au début du siècle une des
plus grandes université du monde avec une bibliothèque digne du
Vatican. C'est dire.
Elle est resté la ville universitaire du pays.
Les visites creuses. La faim nous tiraillant nous passons à table
dans le plus étonnant restaurant de la ville. Très populaire à
l'intérieur et branché à fond en terrasse. La serveuse est toute fois
la même, tablier luisant et mèches en batailles.
Retour le soir pour une nuit réparatrice les jambes sont fatiguées.
Saludos Yann
P.S. Désolé mais toujours pas de photos. Nous ne pouvons pas
décharger l'appareil de ma coéquipière dans les auberges. Il n'y a que des
vieux rossignols sans prises USB.
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